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Logique de l'âme – Conclusion

 

Si la section était un peu décousue, j'espère tout de même qu'elle vous a plu.

Comme annoncé, l'idée était de vous parler un peu d'une autre forme d'intelligence, et de fait d'une autre forme de réalité. Difficile de rendre compte de tout cela à partir de simples contours, mais au moins, vous ne serez pas surpris du dépaysement si vous vous penchez sur cette terra incognita.

 

Que pouvons-nous dire pour finir ?

 

L'homme moderne est coupé de son âme depuis trop longtemps, dès lors il lui est difficile de la quérir, voire même de la reconnaître. Il se peut que, même de bonne volonté, bien des journées se passent sans qu'il n'ait l'impression d'observer quoi que ce soit.

Âme vide. Froideur. Sécheresse.

 

Alors, voici peut-être le meilleur conseil que je puisse vous donner pour identifier l'insaisissable et pourtant omniprésent océan de l'âme.

 

L'âme est présente à chaque fois qu'il y a... quelque chose.

 

Je ne me moque pas de vous.

Dès lors que vous utilisez le mot « chose » dans une phrase, et je parle d'un « quelque chose » appuyé, souvent accompagné « d'un truc bizarre » et d'un « j'sais pas », vous pouvez être sûr à 99% que vous avez affaire à un phénomène pulsionnel. Un morceau d'âme inconnu.

 

C'est à cet endroit que vous devez concentrer votre attention, surtout si vous êtes vide ! Cette chose est un incompris, une incohérence. Il ne faut pas la balayer de la main ! Restez dessus. Au moins essayez.

Si votre âme est sèche, elle s'abreuvera dans la chose. Faites-moi confiance.

 

Et pour le reste, je crois bien que vous l'avez mérité, votre œil magique !

 

 

 

 

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